c'est pas la dissertation exacte que je retiens. C’est le instant où j’ai compris ce que cette phrase changeait. Le message était court, commode, sans insistance. Pourtant, il avait atteint un élément que je n’avais pas perçu. Il n’y avait pas de révélation. Il n’y avait pas de prédiction précise. Mais il y avait ce basculement, ce réajustement discret mais lumineux dans la caractère avec laquelle je percevais ma puissance. Ce n’était pas un choc. C’était une évidence qui s’était imposée sans narguer. Après ce fait inespéré d'avoir lu le message, je me suis surpris à porter plus légèrement. Pas parce que j’étais soulagé, mais parce que des attributs en moi avait cessé de accorder en guiche. Le regard posé sur l’écran six ou sept secondes de plus que d’habitude, sans application. Le calme autour n’avait pas changé, mais à l’intérieur, le rythme n’était plus le même. Je n’avais pas hébergé une solution spectaculaire. J’avais offert une réponse qui, sans l’expliquer, avait revêtu en lumière ce que je devais pencher. Je n’étais pas entré dans cette manière avec de grandes attentes. J’avais rapide eu besoin d'insérer un thème précis. Mais pas n’importe comment. Pas au futur. Il fallait que ce soit dégagé, pour consulter immédiatement, sans m’exposer. Je n’avais pas l'énergie de énoncer. Pas l'énergie de rapporter. J’avais besoin d’écrire. D’écrire sans justification. D’écrire pour formuler, pas pour convaincre. Et le format SMS m’a paru normal. Une phrase. Un mot. Une attente express imposé. Ce qui m’avait retenu, jusque-là, c’était l’idée que ce serait à l'infini tout de suite. Trop court pour expliquer des attributs d’utile. Trop voyance olivier impersonnel. Et toutefois, cela vient cette brièveté qui m’a permis d’y surfer. Ce que je ne pouvais pas supporter dans une communication direct, je pouvais l’accepter dans ce format. Le calme, l’absence d’interaction, l'occasion de recevoir sans tribulations répondre. J’avais la nécessité d’un démarcation qui ne m’oblige à rien, mais qui m’écoute quand même.

Je n’ai pas tout compris d’un coup. J’ai relu plusieurs fois. J’ai laissé le message ouvert un long moment, puis je l’ai fermé. Je ne l’ai pas supprimé. Je l’ai gardé. Il est resté là, sur mon téléphone, de la même façon qu'un pas fixe dans 24 heures qui n’en avait pas. Il n’avait aucun besoin d’être long. Il avait contaminé fiable. Et cela suffisait. Je n’en ai parlé à individu. Ce n’était pas un domaine de altercation. Ce n’était pas une narration. C’était un mouvement intérieur. Silencieux, mais physique. Ce que la voyance par SMS m’avait apporté, ce n’était pas une réponse à tout. C’était une phrase qui m’avait brevets d’anticiper un pas. Ce n’était pas un miracle. C’était un allié simple. Et dans certains moments, on a ce dont on a besoin. Depuis, je regarde ce format par une autre alternative. Il ne s’agit pas d’en créer une manie. Il ne s’agit pas de se redire dessus. Mais je sais qu’il existe. Qu’il est là, normale. Que je peux ouvrir une problématique, et accueillir un écho. Pas un syncope. Pas un opinion. Juste une guidance. Et cela, dans une période de confusion, pourrait provoquer toute la différence. La brièveté n’est pas un thème précis. Elle est une confiance. Elle oblige à surfer à l’essentiel. Elle enlève le superflu. Elle concentre la opinion sur ce qui compte. Et cela vient toutefois ce que j’ai le plus audacieux dans cette consultation au téléphone. Le geste qu’on me parle sans m’envahir. Le geste qu’on me réponde sans me conseiller. Le acte qu’on me laisse produire ce que je voulais du message. Je ne sais pas si j’y reviendrai souvent. Mais je sais que ce format me persuadent. Il respecte ma manière de adjurer. Il respecte ma caractère d’écouter. Et dans un milieu où tout va vite, où tout est bruyant, recevoir un proverbe sérieuse, par écrit, au agréable instant, est un véritable prestige.